(éditions du Seuil)
Pigeon Garay, personnage familier de l’œuvre de Juan José Saer, revient en Argentine après une longue absence. L’été touche à sa fin et la chaleur est accablante. Au cours d’un dîner avec des amis, il raconte l’histoire d’un tueur en série qui à paris, plus précisément dans le XIe arrondissement, s’applique à assassiner des petites vieilles sans que la police ne parvienne à recueillir sur lui le moindre indice. Son récit est interrompu par la découverte d’un énigmatique manuscrit qui aboutit à un voyage en barque sur un fleuve sans rives.
"Ce fascinant roman policier retrouve les meilleures lois du genre en éveillant la complicité du lecteur et en affirmant la véracité de la fiction, et offre une profonde réflexion sur la rationalité, le crime et la folie."
Ca, c'est ce que raconte le 4e de couverture. Ce n'est pas que le livre soit mal écrit, non. Mais je me suis demandée au juste où voulait en venir l'auteur ! Oui, d'accord,la réalité, la folie, le parallèle, mais bon. Deux récits parallèles, auxquels on cherche vainement un point commun, une histoire policière (?) avec des descriptions plutôt sanglantes et gratuites, un narrateur qui a l'air de tout connaître mais dont on ne sait rien... Bref, le livre m'est tombé des mains et je ne l'ai terminé que parce qu'il faisait partie d'une lecture en commun.
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